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14 janvier 2013 1 14 /01 /janvier /2013 12:35

Une manifestation est prévue à Arras le mardi 15 janvier 2013 par les agriculteurs et la FDSEA pour des causes liée aux contraintes environnementales.

 

coloriage-sanglier

Leurs instances décident de filtrer la circulation sur les axes principaux et en centre ville. 

Avenir de l'Artois et La Voix du Nord 

l'arrêté Zones vulnérables et les dégâts causés par la faune sauvage sur l’activité agricole (dégâts aux cultures, pertes sanitaires…) sont les préoccupations immédiates qui exacerbent la profession.

En savoir plus. Ici

 L'an dernier, en janvier 2012, ils avaient déjà organisé une action contre: "Dégâts de lapins, de sangliers, de corbeaux, ou autres gibiers, nuisibles, espèces protégées... la liste est longue et ne concerne pas que les dégâts aux cultures. Il en va aussi de l’impact sanitaire sur les troupeaux, à l’image des avortements chez des bovins infectés par la néosporose, maladie transmise notamment par le renard.

Certains aussi avaient fait le déplacement accompagnés d’espèces « à problèmes » comme des lapins, corbeaux, ou même des rats musqués! Ces derniers ont ensuite défilé dans les rues d’Arras, placés dans des cages posées sur des plateaux, en direction de la préfecture, où, une fois lâchés, ils ont pu retrouver « leur liberté ».

Lire l'intégralité de l'article.

A l'heure où les arrêtés nuisibles se modifient et voient disparaître des espèces sur les listes, chacun doit se poser la question de savoir quel est vraiment le rôle du piégeur en france...

2011-05-27-28-dsc-0408-jpg

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 06:00

Des piégeurs agréés, avides  de perfectionner leurs connaissances et de partager leurs expériences ont accepté l'invitation de la FDC62 ce matin à Haisnes.


Les Albrans participent

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L'isolement est bien souvent le quotidien du piégeur. Homme discret, bénévole, il arpente toute l'année et dans la plus grande discrétion les espaces naturels", en quête des espèces nuisibles qui, comme leur nom l'indique nuisent à la biodiversité d'un lieu. Bien souvent appelé chez des particuliers qui voient leur poulailler dévasté ou leur plafond d'habitation abimé par la fouine qui a élu domicile au grenier, le piégeur est souvent mal vu des écolos bobos qui ne savent pas à quel point la mission reste complexe.

 

Belle occasion à saisir que cette rencontre matinale.

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Cette matinée, orchestrée en deux temps a donc été l'occasion, pour les invités de parfaire leurs connaissances en matière de billard et de lacet.

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Occasion de réaliser sur place un tas de fumier et de tendre des lacets avec le soutien de Sylvain Gourlay et Denis Durlin, de partager, en toute simplicité et humilité les "essais" des autres piégeurs, c'est dans la bonne humeur que s'est achevée cette matinée, quoique un peu perturbée par l'annonce des nouvelles directives qui viennent contrer les textes en vigueur et le manque de suivi de certains élus... Mais on en reparlera sur prochain article.

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Le mot d'ordre est lancé aux piégeurs.

PENSEZ A REMPLIR DES ATTESTATIONS DE DEGATS LORS DE VOS DEPLACEMENTS ET ACTIONS. Il y va de l'avenir de tous...

 

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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 06:00

Sur le site du SIVOM des 3 cantons à Haisnes les La Bassée, une formation complémentaire piégeur est organisée et nos techniciens de secteur de la fédération présents sur le site pour présenter :


- de 8h30 à 10h00, ou de 11h00 à 12h30 le billard,

- de 10h à 11h00 le collet arrétoir...

Retenez bien la date, samedi 17 décembre 2011...

Cette formation concerne les cantons de Cambrin, Douvrin, Béthune et Lens sauf Sains en Gohelle.


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Et d'autres coloriages ici 

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 05:00

La suite du  texte de l'article de la voix du nord permet de faire un point sur les envahisseurs de notre faune régionale. Attention, ces espèces invasives nuisent à la biodiversité....


• Les envahisseurs

Un tiers de la faune régionale est d'origine exogène, américaine pour l'essentiel. Certaines espèces sont dites invasives quand elles nuisent à la biodiversité autochtone. Voici la liste, non exhaustive, des plus communes. Leur vente et leur transport sont interdits.

 >  La tortue de Floride

 

Incapable de se reproduire sous nos climats, elle n'est pas un danger à long terme. Mais elle peut vivre plus de soixante ans, durant lesquels sa voracité en têtards et alevins pose problème. Vendue comme petit animal de compagnie entre 1970 et 1998, année de son interdiction, elle a été souvent rejetée en eau douce une fois adulte.


 >  L'écrevisse américaine

 

Il y a une quarantaine d'années, les savoureuses écrevisses autochtones (pattes rouges, pieds blancs ou pattes grêles) commençaient à disparaître de nos cours d'eau, victimes des nitrates, des phosphates et de la peste des écrevisses. Observant ce phénomène, pêcheurs et propriétaires d'étangs ont déversé de l'Américaine, plus robuste. Le remède fut pire que mieux. Carnassière et féconde, porteuse saine de la peste, elle a fini d'achever les malades...  

La perche soleil Ce joli petit poisson, immangeable à cause de ses arêtes, est particulièrement indésirable dans les étangs, où il dévore les oeufs et les alevins. La perche soleil a colonisé la quasi-totalité des étangs de la région. Elle se cache souvent dans les lots de rempoissonnement mal triés, achetés par les sociétés de pêche.

 >  La grenouille rieuse Relâchée par les professeurs ou leurs élèves qui ne voulaient pas l'occire en cours de sciences naturelles, elle prolifère aux abords des villes depuis les années soixante-dix. Originaire de l'Est, elle se comporte en parasite sexuel : sa descendance, même quand elle est le fruit d'un accouplement avec une «  locale », est nécessairement rieuse.

 

 >  Et les autres... Certaines espèces exotiques, plus discrètes mais présentes, pourraient faire des dégâts écologiques à long terme si elles se multipliaient. Citons, entre autres, le ragondin , la moule zébrée, la palourde asiatique, le poisson-chat, le silure, la carpe amour blanc, la coccinelle asiatique, l'anguillicolose...

 

 

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22 juillet 2011 5 22 /07 /juillet /2011 05:00

Si le piégeage est une activité à part entière, nul ne doit l'oublier dans la bonne gestion d'un territoire.

la présence du rat musqué est vraiment préoccupante sur la région et si les bénévoles décuplent les efforts, il prolifère toujours...

Attention à la leptospirose, toujours gagnante et qui fait presque 30 morts chaque année.

Les Albrans ont fait leur bilan.

Pour la saison 2010/2011 ce n'est pas moins de 231 rats qui ont été capturés sur le marais. Bravo à notre équipe de piégeurs qui travaillent dans la discrétion...

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En savoir plus sur le rat musqué

La leptospirose, c'est quoi ?

Le rat musqué est une préoccupation pour la région Nord - Pas-de-Calais

lundi 11.07.2011, 05:12 La Voix du Nord



| LOOS-EN-GOHELLE |

La Fredon a accueilli trente-six responsables de groupe de défense contre les organismes nuisibles (GDON) pour faire le bilan régional de la lutte contre le rat musqué. Un constat : une grande partie des communes concernées par le rat musqué pratiquent le piégeage mécanique au lieu du piégeage chimique. Sur 257 communes recensées 86 % l'ont appliqué en 2010.

 

En première partie, Odile Crépin, directrice de la FREDON, a développé, rétro-projecteur à l'appui, les phases de cette lutte. Dans chaque GDON (Béthune, Audruicq, Boulonnais, Calaisis, Lys Aa, Audomarois et Lumbres), les actions ont été analysées avec ensuite le bilan comparatif de la lutte mécanique 2003-2010.

Le nombre de captures de rats musqués par année est impressionnant. De 27 808 en 2000 à 25 723 en 2010 en passant par une pointe de 48 452 en 2003.

Arrivé à ce stade, Odile Crépin aborde la professionnalisation des piégeurs. Ils sont actuellement dix salariés. Une incitation au piégeage est régulièrement effectuée, avec l'AGANGA qui organise des sessions de formation dans le Nord. Un tableau est présenté sur le nombre de rats musqués capturés par GDON dans le Pas-de-Calais. Là aussi, c'est impressionnant avec une pointe de 20 000 dans le Calaisis en 2008. Chiffres à l'appui, on observe une augmentation importante de rats musqués entre 2006 et 2008. Entre 2009 et 2010, la tendance s'inverse pour le département du Nord, alors qu'une progression des captures est observée dans le Pas-de-Calais. La lutte mécanique est réalisée par des piégeurs salariés et bénévoles. Ils restent insuffisants au regard du nombre de rats musqués présents sur le territoire. Le développement de la lutte mécanique par des piégeurs professionnels est une nécessité.

Des actions spécifiques

Le développement du piégeage mécanique est favorisé par des actions spécifiques : prime à la queue (1,5 euro), distribution de pièges (plus de 1100 distribués en 2010), sensibilisations et sollicitations des élus, organisations de session de formation.

Les obstacles majeurs au développement des GDON et à leurs actions sont le manque de moyens financiers et de moyens humains et les contraintes juridiques concernant le relevé et la pose de pièges.

À la demande du président Jean-Jacques Verstrataeten, les responsables ont développé leurs expériences, leurs difficultés à conserver les bénévoles et parfois les stagiaires. L'environnement de certains cours d'eau mal entretenus ou le vol des pièges ajoutent encore aux difficultés des poses de pièges.

D'où une certaine lassitude des bénévoles.

Marie Lefebvre, vice présidente, présentant les conclusions de cette rencontre s'est félicitée de la richesse des échanges et des informations. • A. DUPARC (CLP)

Pour plus d'informations.- FREDON : 03 21 08 62 90 Courriel : fredon@fredon-npdc.com FREDON : Fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles.

La presse régionale  en parle encore...

Voix du Nord Eric HOLZAPPEL

Samedi 16 juillet 2011

 

·    Face au rat musqué, la guerre est sans merci


| ENVIRONNEMENT |

La protection des berges a un prix : le massacre systématique et organisé des rats musqués par dizaines de milliers. Un travail difficile mené par des centaines de bénévoles et dix-huit piégeurs salariés.

Le propre du visiteur indésirable, c'est qu'il se sent mieux chez vous que chez lui... C'est le cas du rat musqué, qui prolifère dans notre région, loin de ses prédateurs américains, loups, coyotes ou rapaces. Reste l'homme... mais il a bien du mal à suivre la cadence de cet infatigable reproducteur. « Vous en oubliez deux en début d'année, vous en retrouvez quarante-quatre à la fin », dit souvent Jean-Jacques Verstraeten, qui mène la lutte contre le rongeur, à la tête de la Fédération régionale de défense contre les organismes nuisibles (FREDON).


Le rat musqué dérange parce qu'il fait des dégâts. Il sape les berges en creusant des terriers de plusieurs mètres. Fragilisées, elles finissent par s'écrouler, ce qui pose un problème particulièrement en zone inondable, dans les wateringues, près du littoral. Dans les champs cultivés, il se régale de maïs, choux-fleurs, endives et céréales. Enfin, il véhicule la leptospirose (la « maladie du rat »), qui fait une trentaine de morts par an en France.

Le monde rural mène une guerre sans merci au rat musqué depuis les années 1970. Mais la lutte ne s'est structurée qu'en 2003, avec la création de la FREDON, qui coordonne les actions.

La finde l'arme chimique

Les troupes en présence ? Dix-huit salariés, piégeurs à temps plein, employés par les collectivités locales, et plus de 600 bénévoles, chasseurs, retraités, qui traquent le rat musqué pour la prime à la queue (1,50 euro pièce). Un professionnel éradique entre 1 200 et 1 500 rongeurs par an.

Un bénévole ramène généralement quelques dizaines de queues, 300 tout au plus.

En 2010, cette petite armée a réussi à tuer 76 000 rats musqués au total. C'est, avec plus de moyens, beaucoup moins que les 92 000 prises de 2008. En effet, la lutte s'intensifie en termes de combattants engagés... mais ralentit en termes de résultats.

Jusqu'au 31 mai 2009, les humains utilisaient une arme de destruction massive : la FREDON distribuait chaque année 120 tonnes d'appâts empoisonnés, des petites boulettes de carottes plombées d'anticoagulants, qu'on semait le long des berges. Les rats musqués mourraient d'hémorragie. Facile, efficace... mais dangereux et polluant. L'Europe a donc mis fin à cette pratique. Désormais, trois armes sont autorisées : le piège en « X » (une mâchoire qui se referme), la nasse (qui piège l'animal) et le tir (au fusil ou plus rarement à l'arc). Le massacre des indésirables continue, mais il est plus laborieux.

À cette difficulté vient s'ajouter une crise des moyens. Le conseil général du Nord finance le piégeage, à hauteur d'environ 100 000 E annuels, mais celui du Pas-de-Calais a gelé ses subventions en 2009, considérant que cette compétence n'était plus de son ressort. Les communes et syndicats intercommunaux traversés par des cours d'eau ont dû prendre le relais. C'était ça ou assister impuissant à l'effondrement des berges. •

ZOOM

Depuis trois ans, les piégeurs du Cambrésis ont parfois la surprise de capturer des ragondins (ou myocastors) : un en 2008, un en 2009, quatre en 2010.

On croyait notre région épargnée par cette espèce plus grosse que le rat musqué, aux dégâts comparables. Leur prolifération au nord de Paris s'est faite dans les années quatre-vingt par des « sociétés malhonnêtes », dixit un paysan de l'Aisne escroqué à l'époque. Elles proposaient de vendre ces gros rongeurs américains à des agriculteurs désireux de se diversifier dans l'élevage (pour la viande et la fourrure), puis de leur racheter la progéniture les années suivantes. Une fois l'affaire conclue, elles ont disparu... On trouve des myocastors en nombre conséquent sur les rives de l'Oise, l'Aisne et la Marne... et quelques-uns, donc, dans le Cambrésis depuis trois ans. Comme les rats musqués, ils sont classés nuisibles ; la prime à la queue s'applique. •


 

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 16:51
Deux actionnaires ont suivi la formation de piégeage organisée par la Fédération des Chasseurs du Pas de Calais. Notre adjoint au garde  et notre coordonnateur travaux sont devenus "piégeur agrée". Cette formation dispensée sur trois jours nécessitent un apprentissage intensif concernant :

Reconnaissance des animaux  nuisibles,
Connaissance des différents types de pièges, possibilités et règles d'utilisation,
Manipulation des piéges sur le terrain,
Connaissance des mesures propres à diminuer les souffrances des animaux capturés,
Règles de sécuité et règlementation,

Application des connaissances et examen final.

Voilà le programme de la formation organisée la semaine dernière par la FDC62.

ENGAGEMENT MORAL RESPECT DES LOIS ET PROTECTION DE LA NATURE sont les maîtres mots du piégeur.
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Bravo à Patrick et à José qui peuvent dès à présent renforcer notre équipe. En effet, des habitants de Annequin nous  sollicitent régulièrement pour la protection de leur poulailler et de leurs appelants. Souvent, ces personnes vivent en campagne ou en bordure de cours d'eau  et sont confrontés aux problèmes générés par les rats musqués et autres animaux classés nuisibles. Les Albrans, dans la mesure de leurs possibilités engagent des actions de bénévolat au service du citoyen.

Parce que piéger est une nécessité....

Une association de piégeurs agrées est mise en place à Beuvry sous la présidence de Maurice LEDOUX depuis 2009.

Le GDON Groupement de Défense contre les Organismes Nuisbles lutte activement contre le rat musqué.

De nombreux piégeurs bénévoles travaillent activement sur les sociétés de chasse, régulent et gèrent pour obtenir un biotope riche et voir augmenter de manière caractéristique le gibier et le sauvegarder...
Attention cependant aux maladies de zoonose développées par le rat musqué. La leptospirose en est une, et j'en reparlerai très bientôt dans les pages spéciales salon de la chasse. Je vous présenterai l'ERZ qui tiendra un stand au Parc de la Loisne et des actions de Prévention de ces maladies. A bientôt donc.

Pour en savoir plus.....

Nord littoral article Assemblée générale du GDON
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4 octobre 2009 7 04 /10 /octobre /2009 08:00

Après de nombreuses hésitations et incertitudes, les Albrans abordent enfin un sujet qui leur est cher… Le piégeage.

 

N’en déplaise à certains, ce sujet ne restera pas tabou.

Par principe, le piégeur est un homme discret qui ne veut qu’on parle de lui, qui arpente les espaces naturels et consacre son temps libre à la gestion du biotope. Il est taxé de tous les noms d’oiseaux, notre piégeur et pourtant les citadins commencent même à faire appel à lui en de nombreuses occasions.

Le sujet est si vaste que nous commencerons par des actualités, par des faits et événements locaux, insignifiants pour certains mais qui ne sont que la reconnaissance d’un statut. Nous vous épargnerons les longs articles. Nous leur préférons de courts articles de temps à autre qui résumeront l’actualité. Nous vous ferons découvrir aussi quelques espèces dites « nuisibles »

 

DEFINITION

Dans les dictionnaires la définition est simple. Un piégeur est celui qui prend des animaux avec des piéges… Les synonymes sont braconnier, laceur, colleteur, fileteur Triste définition et raccourci typique : le piégeur est donc un braconnier qui use de ses autorisations pour tuer les braves petits animaux innocents. C’est aussi bien souvent un assassin pour certains.

 

EN PRATIQUE

Pour devenir piégeur agrée, trois jours de formation intensive sanctionnées par un contrôle de connaissances sont un minimum imposé. Mieux vaut arriver en connaissant la théorie, faute de quoi, la réussite ne sera pas facile. Connaissance des animaux, de la sécurité, des piéges utilisés et d’une quantité d’apprentissages techniques sont au programme. Des règles d’hygiène sont aussi dispensées par les agents de la Fédération dans la mesure où les maladies de zoonoses sont de véritables fléaux, mais nous y reviendrons.

 

Annuellement, avant le 30 juin chaque piégeur doit présenter son relevé d’activités journalier avec le nombre de prises à la mairie de sa zone de piégeage et le retourner, accompagné de la signature du maire, faute de quoi l’agrément est suspendu.

Les contraintes annuelles sont draconiennes et le laxisme n’a pas sa place dans cette occupation reconnue  d’utilité publique.

 

Voilà, le sujet est posé : deuxième volet dans quelques jours.
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